Quitte ces vêtements de soleil érodé
Plus un bruit dans le bois
Plus un bruit dans le bois
Que quelques pierres qui pleurent
Que quelques enfants morts
Qui rient entre les ronces
Des copeaux de coeur sous les ongles
Des mouches qui grésillent
Contre la fenêtre entrouverte
Et mille éclats de soir
Plantés en moi je vis
La chaise furieuse brûle
Plus un cri dans le parc
Que le ciel vomissant sur moi
Mes immenses fenêtres.
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